jeudi 3 octobre 2013

Retrouvez l’actualité de GS1 Feel Goods sur "Electronic Product Code : Le Blog"


56ème et dernier article du blog GS1 Feel Goods. 

Le fil actus des solutions de visibilité logistique se poursuit désormais sur le blog GS1 consacré à la technologie RFID et ses applications.
« Electronic Product Code : Le Blog », c’est par ici : 



mercredi 31 juillet 2013

Enquête en cours sur les leviers d'optimisation de la chaîne logistique. A vos claviers !


Le projet ECOLOGISTICS vise à améliorer la circulation des informations de traçabilité entre grandes entreprises et PME dans la zone Nord-Ouest Europe en mettant à disposition une plateforme informatique conforme aux standards GS1 et ouverte aux échanges de données multipartenaires.

Une consultation menée dans ce cadre est actuellement ouverte à l’ensemble des intervenants de la chaîne d'approvisionnement (industriel, transporteur, distributeur, etc.).
Cette consultation a pour but de recenser les pratiques et difficultés rencontrées par ces intervenants, pour orienter les travaux du projet sur des solutions adaptées aux besoins métiers.

Participez à cette enquête en cliquant ICI et en renseignant les éléments de connexion suivants :
- Username : company 
- Password : survey 

Merci par avance à tous les participants qui accorderont 10 minutes de leur temps à répondre à cette enquête!

Pour tout complément d’information sur la consultation ou sur le projet ECOLOGISTICS, n’hésitez pas à contacter GS1 France en cliquant ICI.

mardi 2 avril 2013

Formez-vous au standard EPCIS pour réussir vos projets supply chain!



Vous faites quoi le 18 mars ? 
Le centre de formation GS1 France organise une journée dédiée au standard EPCIS et ses applications. 

Le standard sera tout d’abord « disséqué » sur le plan technique, avec une introduction aux clés d’identification GS1 et au langage XML utilisé pour représenter des événements logistiques issus de flux physiques et financiers. 
Cette introduction sera suivie d’une présentation détaillée des formats d’entrée (Capture interface) et de sortie (Query interface) d’une base EPCIS, permettant de comprendre comment constituer et archiver des données EPCIS, et comment les partager avec ses partenaires. 

Le standard sera ensuite illustré par des applications logistiques en boucle ouverte, appuyées par des retours d’expérience significatifs d’industriels et de distributeurs de divers secteurs (agro-alimentaire, santé, etc.). 
Des cas pratiques et des manipulations sur la plateforme de démonstration GS1 France compléteront enfin la formation. 

Le programme complet de la journée est disponible ICI.

Le centre de formation de GS1 France est un organisme agrée, les formations dispensées sont donc éligibles à votre plan de formation et peuvent bénéficier de financements des différents organismes collecteurs (OPCA). 

Venez à GS1 France le 18 mars prochain pour savoir ce qu'il faut sur l'EPCIS, le standard pour une visibilité des opérations sur l'ensemble de votre chaîne logistique. 
Gagnez ainsi du temps et de l'expertise pour réussir vos projets supply chain!
Inscrivez vous à cette formation en cliquant ICI.

A moins que vous préfériez vous débrouiller avec les 146 pages du standard EPCIS… ;-)
Auquel cas, pour rappel, l’EPC Implementer est disponible pour vous aider.  
Bon courage malgré tout ! 

lundi 18 mars 2013

Technologies de l'information & standards : la combinaison gagnante pour une visibilité des flux supply chain



Une vision en temps réel des flux de marchandises, synchronisés en direct aux flux financiers, au moyen de flux d'information générés de façon simultanée, d'un bout à l'autre de la chaîne d'approvisionnement... le rêve de tout manager supply chain! 

Ce rêve tient-il plus de la fiction que de la réalité aujourd'hui?  
Pour y répondre, l'Eurometropolitan e-Campus et son partenaire Multitel ont réuni près de 50 personnes à Tournai pour participer à un atelier sur le thème « Visibilité des flux supply chain grâce aux TIC ».

Retour sur cet atelier, organisé dans le cadre du projet ECOLOGISTICS

Le cluster "Logistics in Wallonia" a tout d'abord dressé le panorama des enjeux auxquels sont confrontés les entreprises du Transport et de la Logistique: compétitivité, développement durable, internationalisation des flux, gestion de l'intermodalité des transports, exigences réglementaires, etc.
Les attentes du secteur clairement identifiées, GS1 France a alors présenté les standards technologiques idoines, comme autant de solutions aux défis préalablement exposés. 
Ces standards sont plus largement expliqués dans un rapport intitulé "The GS1 Supply Chain Visibility Framework", disponible ICI.  
Enfin, l'entreprise Multitel a introduit les objectifs du projet ECOLOGISTICS, suivi d'un appel à participation au projet. 

Le cycle de conférences s'est ensuite décliné en 3 sessions thématiques, sur les sujets suivants:   
  • L'optimisation des actifs réutilisables mutualisés (palettes, rolls, caisses plastiques, fûts ...)
  • Logistique inverse : la traçabilité des déchets
  • Synergies entre EDI et solutions de tracking dans la distribution alimentaire
L'ensemble des présentations de l'atelier est disponible ICI.



A propos du projet ECOLOGISTICS :

Programmé sur 3 ans (2012-2105), le projet ECOLOGISTICS vise à sensibiliser les entreprises, en particulier les PME, à l’adoption des technologies de l'information et des standards pour une logistique durable.
Les partenaires du projet, issus de 6 pays européens (France, UK, Allemagne, Belgique, Luxembourg, Pays-Bas), visent à concevoir un démonstrateur qui permettra d'expérimenter des technologies innovantes pour servir la gestion des flux supply chain.
Le projet ECOLOGISTICS est soutenu par la Commission Européenne dans le cadre du programme INTERREG IVB North-West Europe
Plus d'informations sur le projet ICI.

mardi 12 mars 2013

Traçabilité dans la supply chain santé: l'EPCIS en pleine forme aux US!


En vue de l’application du « California e-Pedigree Law » programmée en 2015, les entreprises américaines du secteur de la santé se mobilisent…

L’Healthcare Distribution Management Association (HDMA) a récemment primé un pilote qui expérimente le standard EPCIS pour constituer des messages de type « e-Pedigree » sur  les médicaments.  Ces messages visent notamment à servir le rappel de produits et la lutte contre la contrefaçon. 
Le communiqué de presse de HDMA est disponible ICI.

Conduit par GHX, offreur de solutions supply chain spécialisées sur le secteur de la santé, le pilote a démontré la pertinence de l’EPCIS pour répondre aux exigences réglementaires édictées dans le California e-Pedigree Law. 
Ces exigences portent notamment sur l’obligation pour les entreprises de fournir à un inspecteur de la FDA – sur demande et sans délai - un certificat électronique de provenance des produits en stock. Ce certificat électronique, dénommé e-Pedigree, devra indiquer le circuit logistique emprunté par la marchandise, en mentionnant chaque intermédiaire à qui la responsabilité de la marchandise a été confiée.
Ainsi, un pharmacien, en cas de contrôle d'une boîte de médicament en réserve, devra fournir un certificat qui recensera l’ensemble des acteurs qui a contribué à son approvisionnement, du laboratoire jusqu’à son officine ! Donc potentiellement, l’industriel, le prestataire logistique, le grossiste, le répartiteur, l’établissement de santé, etc.

Le reconstitution de la chaîne de traçabilité complète exige de la part des entreprises qu’elles partagent les données dont elles ont la charge, selon un langage commun. Ce langage commun est l’objet du standard EPCIS. C’est pourquoi le pilote s’est appliqué à mettre en pratique ce standard, aujourd'hui encore peu déployé. 
Pour ce faire, GHX a mis à disposition une base de données au format EPCIS à un pool d’acteurs représentatif d’une supply chain de produits pharmaceutiques: Abbott Labs (laboratoire industriel), McKesson (distributeur) et Veterans Health Administration (réseau de pharmacies). En complément, les enterprises AmerisourceBergen Corporation, Cardinal Health et Johnson & Johnson Health Care Systems ont participé à l’expression de besoins du pilote.

Sur le plan technique, le pilote a démontré les possibilités :
  • D’identifier chaque unité de vente de façon unique, via le marquage de chaque produit par un code-barres Datamatrix, constitué de la clé d’identification standard sGTIN (serialized Global Trade Item Number)
  • De formater de façon standard les messages e-Pedigree en collectant les évènements logistiques d’un bout à l’autre de la supply chain, via l’utilisation de l’EPCIS
  • De contrôler de façon automatique la conformité de ces messages e-Pedigree, et d’en assurer une diffusion restreinte aux partenaires autorisés, via la définition de règles métiers compilées dans un prototype de « checking service ».

Cette dernière possibilité a été facilitée par le recours à un système d’information centralisé, dit « Centralized Network Centric ePedigree (NCeP) », architecturé sur la solution EPCIS de GHX. 
Au passage, cette solution émane de l’acquisition en 2012 par GHX de la technologie "EPCIS inside" développée par un fabricant français d’implants chirurgicaux (Implanet), et commercialisée alors sous le nom « Beep’n’Track ». Plus d'infos sur cette acquisition ICI.

Néanmoins, le modèle NCeP n’est pas le seul permis pour servir de socle aux échanges de données entre bases EPCIS, d’autres modèles (notamment des modèles décentralisés) sont en cours de standardisation au sein du GSMP dans le cadre du groupe de travail « Pedigree Security, Choreography and Checking Service ».
Quel que soit le système d'architecture employé, les évènements EPCIS sur la supply chain de la santé peuvent être illustrés de la sorte:  



En marge du pilote, GS1 US vient de publier un guide de mise en œuvre des standards GS1 pour permettre une traçabilité de bout en bout de la supply chain santé.
Une large partie de ce guide est consacré aux conclusions du pilote GHX et précise comment utiliser le standard EPCIS pour mettre en forme un message ePedigree standard. Téléchargez ce guide en cliquant ICI.

Si vous souhaitez expérimenter le standard EPCIS, la plateforme GS1 France est à votre disposition !  Pour en savoir plus, cliquez ICI.

jeudi 7 mars 2013

GS1 France arme ses adhérents d’une solution de traçabilité en mode "Cloud"


Une traçabilité complète de la chaîne d’approvisionnement exige de la part des entreprises qu’elles partagent les données logistiques dont elles ont la responsabilité, depuis le lieu de fabrication jusqu’au lieu de distribution. Livraison et réception de marchandises, constitution d’une unité d’expédition, rappel  de produits, etc., le standard EPCIS permet de formater ces évènements logistiques de façon standard, pour une exploitation en temps réel par les partenaires autorisés. 
Pour en savoir plus sur l’EPCIS, cliquez ICI

En vue du déploiement global de l’EPCIS, GS1 France met a disposition de ses adhérents une solution conforme à ce standard afin de servir leurs projets pilotes.
Développée par la société RFiT Technologies, la solution offre un service de type "Cloud privé", ce qui permet une souplesse et une facilité d'usage adaptées à l'ensemble des entreprises, PME incluses !
Les données sont hébergées dans un espace de stockage dédié à l'entreprise et sécurisé, afin que seuls les partenaires autorisés puissent y accéder. 

Un aperçu en image : 

Pour bénéficier de cette solution, contactez GS1 France sans plus attendre

mardi 26 février 2013

Le standard ONS évolue pour offrir d’avantage de services liés aux objets connectés


Le standard ONS 2.0 est désormais disponible ! Il est publié ICI

Cette nouvelle version permet de développer des services multiples sur les objets, à destination des consommateurs et des entreprises : consultation de l’origine et de la nature des produits sur Internet, constitution du pedigree complet d’une marchandise, accès direct à des services d’authentification, etc. 

A la base de l'ONS 2.0, un consortium français baptisé WINGS, créé en 2009, soutenu par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) et la Délégation aux usages de l’Internet (DUI). 
GS1 France remercie les sponsors et les partenaires du projet WINGS (Afnic, GREYC, INRIA, Orange, UPMC), ainsi que l'ensemble des entreprises  qui ont contribué aux travaux de standardisation de l'ONS 2.0 ! 


Pourquoi une nouvelle version du standard ONS ? 

En 2003, GS1 publie la première version des standards EPCglobal. Une partie de ces standards concerne la mise en œuvre d’un réseau de traçabilité des objets, basé notamment sur les standards existants de l’Internet. Un de ces standards spécifie le fonctionnement d’un service d’annuaire, l’ONS (Object Name Service). Dans sa première version, le standard ONS présente la particularité de décrire l’exécution du service de routage sur Internet via un point de passage unique, une racine de résolution du DNS qui utilise la zone de délégation « onsepc.com ». L’opération de cette racine de résolution unique est alors confiée de façon exclusive à une société américaine de droit privée, en l’occurrence l’entreprise Verisign.
L’importance croissante des enjeux liés à l'utilisation du standard ONS et les questions de souveraineté numérique et économique qu’il engendre a suscité cependant, dans le monde et plus particulièrement en Europe, une prise de conscience à tous les niveaux de décision sur les risques de ce « monopole technique de fait » . 
Pour répondre aux inquiétudes soulevées par cette situation centralisée, GS1 France a ainsi décidé de mettre en œuvre, dès 2008, une racine ONS alternative en Europe dans la zone « onsepc1.eu ». De même niveau que la racine américaine gérée par VeriSign, cette racine est depuis accessible à toutes les entreprises adhérentes à GS1
Toutefois, jusqu’à la publication du standard ONS 2.0, ces deux racines fonctionnaient de façon indépendante, en complète autonomie.
Pour mettre fin à cette bipolarité et permettre l’interopérabilité de racines ONS multiples, l’ONS 2.0 a donc vu le jour… 


Quoi de neuf avec l’ONS 2.0 ? 

La version 2.0  du standard offre trois nouveautés majeures. 

  • Premièrement,  l’ONS 2.0 spécifie un cadre de résolution autoritaire de même niveau, distribué sur plusieurs ONS racines (ONS Peer Roots). 

Ce standard permet ainsi la mise en place d’un modèle de racines interopérables par pays et constitue dès lors un système « fédéré », illustré ainsi : 
Pour fonctionner, chaque ONS Peer root qui compose la fédération utilise une table de délégation (Peer Delegation file), basée sur les préfixes pays GS1 (MO prefix). 
La liste des préfixes GS1 est disponible ICI.  
Quant au format de la table de délégation, il est spécifié ICI

Conséquence, chaque organisation membre GS1 a désormais la possibilité d’administrer sa propre racine ONS nationale, ou peut coopérer avec d’autres pays pour offrir aux entreprises une racine régionale.   

  • Deuxièmement, l’ONS 2.0 offre aux entreprises la possibilité de « caractériser » les services qu’elles souhaitent publier 

La publication des services sur l’ONS peut désormais s’accompagner de paramètres spécifiques, comme sa langue de publication, le pays cible auquel est destiné ce service etc. 
Sur le modèle d’un Web Service (description du service via un schéma XML), cette description permet de structurer le format d’échange entre le serveur de publication et le client ONS. 
Le schéma XML qui définit ce format d’échange est disponible ICI.  
Les enregistrements ONS restent toutefois construits selon le format NAPTR tel que précisé par la RFC 3403.

  • Enfin, l’ONS 2.0 permet aux entreprises de publier des services sur l’ensemble des clés d’identification au standard GS1 (GTIN, SSCC, GRAI etc.), quelle que soit la technologie de marquage employée (RFID, GS1-128, EAN 13, etc.) 

Avec l’ONS 2.0, la traduction des clés d’identification GS1 en nom de domaine (ONS hostname) est désormais précédée d’une conversion de l’identifiant en « Application Unique String » (AUS). Cette conversion met à plat le code de façon non significative, afin de contourner la contrainte du « parsing » du code, héritée du système EPC, qui exige de distinguer le company prefix du reste du code pour le traduire en ONS hostname. 
En conséquence, un identifiant encodé dans une étiquette RFID ou dans un code-à-barres peut être interprété par l’ONS de la même façon! L’ONS 2.0 assure ainsi l’interopérabilité des technologies de capture.
Le schéma suivant montre le fonctionnement de la résolution d’une requête ONS selon le standard 2.0 :  




Que va devenir la plateforme ONS de GS1 France ? 

La plateforme ONS de GS1 France va prochainement adopter le standard v2.0 pour offrir encore plus de services aux entreprises!

Plus d’infos à suivre prochainement !

En attendant, pour en savoir plus sur l’ONS 2.0, vous pouvez consulter le communiqué de presse disponible ICI



lundi 4 février 2013

Comment encoder dans un tag RFID une donnée issue d’un code-barres ? … et vice versa ?


Cette question se pose à l’ensemble des entreprises souhaitant passer d’une technologie de marquage à une autre, ou bien combiner RFID + code-barres pour identifier leurs marchandises.
Les problématiques sont en effet légion… Comment encoder l’identifiant ? sous quel format? Y’a-t-il des impacts pour le système d’information ? 



Pour vous aider, GS1 a publié un document intitulé « RFID Bar Code Interoperability ». Il est disponible à cette adresse : 

Ce document n’est pas un standard mais bien un guide d’accompagnement, visant à expliquer la compatibilité RFID et code-barres pour servir des besoins d’identification.
Il illustre le mariage des standards GS1 à ceux d’EPCglobal, et démontre l’interopérabilité des technologies de marquage.  
Il simplifie surtout la lecture des spécifications relatives aux standards d’identification GS1 & EPC, issus respectivement des documents « GS1 General Specifications » et « Tag Data Standard ».
Désormais, la conversion des codes SSCC, GRAI, GTIN etc. en chaîne de caractères (GS1 Element String) ou au format binaire sur 96 bits n’aura plus de secret pour vous. 

En synthèse, il vous permettra de comprendre que quelle que soit la technologie employée pour identifier vos marchandises - RFID ou code-barres -  vos données peuvent être intégrées au S.I et être consommées par vos applications métiers de la même façon!